Votre séance photo
Avant tout, bravo. Il faut de l’audace pour plonger et arrêter le temps. Et n’en doutez pas : c’est ce que nous ferons.
Nous vivrons cette expérience en trois étapes.

La séance photo en studio
On prend le temps, et ce temps est essentiel. Aucune histoire n’est une autre.
On parle, on rit, on pleure parfois. Et ça dure le temps qu’il faut pour que vous soyez totalement libres au moment de passer en studio.
A la surprise générale, la prise de vue en elle-même est rapide. Je vois rapidement surgir l’œuvre que vous devenez.
Pas d’inquiétude quant à “ne pas savoir quoi faire” : vous n’avez pas à savoir quoi faire. C’EST MON METIER DE VOUS GUIDER. Nul besoin d’être modèle, d’être danseur, d’être souple ou de savoir sourire sur demande.
C’est en musique. C’est doux. Qu’il s’agisse d’une séance photo solo, en couple ou de portraits de famille, ce moment ensemble est un moment de bonheur. C’est ce bonheur que vous retrouverez dans les œuvres que vous accrocherez chez vous.
Si vous venez avec de jeunes enfants, ce sont eux qui feront la séance : les petits font ce qu’ils décident de faire, et c’est cette spontanéité qui rend les images magiques.
Je ne vous prêterai pas de vêtements : je suis sûr que vous en avez ! D’ailleurs, en toute sincérité, le vêtement compte peu. Moins on le voit, plus on vous voit.
À l’issue de la séance, nous entamons la seconde étape.

La projection privée
Ce peut être le jour même ou le lendemain. De mon côté, j’ai besoin de deux heures à l’issue de la séance pour préparer cette projection.
J’insiste pour que la projection suive la séance très rapidement. Pour maintenir le lien. Pour que l’expérience soit entière. Immersive.
Nous passons environ deux heures ensemble pour cette étape, où vous découvrez les images que j’ai sélectionnées pour vous et préparées. Une sélection la plus courte possible. La qualité avant la quantité.
La projection privée, c’est l’occasion de se découvrir avec un regard qu’on a rarement sur soi : un regard bienveillant, ouvert, qui aime avant tout.
C’est aussi l’occasion de redécouvrir ceux que vous aimez. Des détails qu’on regarde peu. Un geste. Un regard. Une main. Une mèche de cheveux sur une clavicule.
Il est alors temps de donner vie aux images : c’est lors de la projection que vous faites le choix des œuvres et de leurs supports. Et évidemment, parce que c’est un investissement en émotions mais également financier, nous prenons tout le temps de choisir.
J’invite les parents de jeunes enfants à les faire garder pour cette étape. Le temps leur semble vite long… Les grands-parents, parrains, marraines et proches qui souhaitent être présents sont bienvenus, mais pensez à m’avertir, que j’adapte la quantité de (insère ici le nom de ta boisson et de ton gâteau préférés).

Le retrait de vos oeuvres
Lorsque nous nous reverrons pour achever cette expérience, ce sera parce que vos œuvres sont prêtes. Vous partirez avec. Vous les accrocherez. Et elles deviendront indispensables.
Il est probable qu’on se reverra.
En tous cas, on aura tous un peu changé. Ensemble.

Les tarifs, et pourquoi.
À la réservation, vous règlerez les frais de séance.
Ces frais s’élèvent à 200 €. Ils incluent les trois étapes de l’expérience, hors tout support.
Quant aux achats faits lors de la projection : c’est “à la carte”. Le tarif dépend du format de la /des photographie(s) et de ses finitions.
Vous découvrirez au studio les formats et finitions proposés, qui vont du tirage fineart au format A4 à des tableaux laminés sur bois de plus d’un mètre.
Le coût est celui d’une œuvre à vie. Cela va de 50 € (tirage) à plus de 1.500 € pour les plus grands formats et les finitions les plus luxueuses.
Vous investissez dans un témoignage qui demeurera après vous. Aussi la qualité n’est-elle pas négociable, et le prix est celui de cette qualité, mais aussi de mon expérience et de mon travail sur chaque œuvre.
Je propose également des livres photo magnifiques ; j’appuierai toutefois toujours l’image unique que vous verrez chaque jour en tableau, plutôt qu’un livre contenant 16 images que vous ne verrez que lorsque vous penserez à le feuilleter.
Et pourquoi ?
Le numérique n’a rien de tangible. Il est fragile, il est absent, sauf si on le convoque. Les clés USB dans les poches, les disques durs qui crament, les téléphones qu’on oublie sur la voiture en cherchant ses clés (c’est du vécu). On a tous perdu des images. On a tous perdu des souvenirs.
Je ne crois pas à l’art dématérialisé. Une œuvre d’art, et c’est bien ce que nous ferons, est une pièce maîtresse de nos vies et de nos foyers.
Il n’existe aucun jugement en moi ; aussi, je vous communiquerai avec plaisir les coordonnées de mes collègues qui procèderaient de manière différente ; pour ma part, c’est une règle à laquelle je ne déroge pas. Parce que la vie est extraordinaire dans tout ce qu’elle nous contraint à perdre et à surmonter, et que les souvenirs sont tout ce qui nous constituent.