RHÉA
 
SHIRUDO

Je suis une mère un homme trans un survivant un artiste

Le photographe

Le photographe au Mans

Le monde ne sera plus tout à fait le même après notre rencontre. Ni pour vous, ni pour moi.

S’accepter, se mériter, se croiser et se nouer et plonger dans l’expérience changera un peu nos vies.

On va s’apprendre.

Je vais vous regarder vous aimer. Vous regarder vivre.

Il est probable que durant cette expérience, je jure honteusement en faisant de grands gestes.

Il est probable que durant cette expérience, vous pleuriez d’amour, de liberté ou de vous souvenir.

Et vous ne repartirez pas avec un portrait. Confiez plutôt votre portrait à un photographe. Il y en a beaucoup, de très doués. J’ai des adresses, si vous voulez.

Vous repartirez avec une œuvre d’art.

Du photographe.

Je vous attends, si nous devons nous rencontrer. J’ai hâte.

Qui je suis ?

Je suis un être heureux.

Artiste depuis toujours, la photographie m’est venue comme toutes mes histoires de vie : j’y étais prêt.

Je fus une femme, je suis une mère, je suis aujourd’hui un tout. Un être humain. Et c’est ainsi que je photographie des êtres humains. Entiers, libres. Sans préconçu.

La passion me porte et demeure mon seul moteur. Je ne distingue pas les œuvres de commande que je réaliserai avec vous, des œuvres personnelles par lesquelles je défends les causes qui me sont chères. Le même amour m’anime. Ce que nous vivrons sera unique.

Je suis immédiat, excessif, tendre. Mon humour est déplorable mais féroce. Et je porte sans cesse un sourire radieux, outre un legging en cuir dont je me départis rarement.

Travaux de commande

Vous passerez ma porte en me disant que vous n’êtes pas photogénique.

Votre chéri viendra à reculons.

Vos ados aussi. Et ils me détesteront quand je leur ferai retirer leurs Nike (on est d’accord, c’est moche ?!).

Vos bébés déclareront de l’acné du nourrisson 10 minutes avant la séance.

Attila (prénom de tous les enfants de 2 à 4 ans) ne voudra pas rester sur la photo.

Ah, et bébé fera pipi. Et caca, sans doute.

Je n’ai que ça pour vous rassurer : tout le monde revient.

Mais je ne sais pas ce que nous ferons, à part vivre. Comme vous le faites chaque jour, en gérant.

Et l’on prendra le temps de faire ce qu’on ne fait plus. Se regarder. Sentir le cœur de la famille battre. Admirer votre amant dans la lumière. Découvrir une nouvelle mimique de votre Attila.

 

Si vous le voulez, je vous confierai aux soins de mon amie, Julie-Chaton, qui vous pomponnera avant la séance. Sachez d’ores et déjà qu’elle a l’interdiction de mettre des paillettes, à défaut de quoi j’arrête de lui offrir des parts de flan. Ce qui la rend grognon.

 

Je ne vous prêterai pas de vêtements. J’ai trop envie de voir les vôtres.

Et puis, les vêtements, il n’est pas rare qu’ils finissent par sauter. Less is more.

 

Je ne sais pas combien de temps durera la séance. De toutes façons, le temps se sera arrêté.

 

On se reverra sans tarder, pour garder ce lien prégnant au moment où vous découvrirez les images. On y passera le temps nécessaire et on transformera une idée et un instant en œuvre d’art.

Vous n’en aurez jamais eu besoin ; et naître la rendra indispensable. Comme l’amour.

 

Quelque part dans un monde où nous ne serons plus, ni vous, ni moi, il y aura cette œuvre. Nous serons là, longtemps, et ce que nous avons partagé demeurera.

 

Voilà ce que nous allons vivre.

L'art du photographe

S’il faut distinguer l’art de la commande, voici ce que je peux en dire :
En travaux de commandes, seul mon commanditaire peut faire l’achat de l’œuvre.

Les travaux artistiques ont vocation à être exposés et vendus, et à ouvrir des portes.

On peut ouvrir une porte avec une clé délicate et ciselée, mais un bélier est tout aussi efficace. Et j’ai tendance à y aller au bélier.

L’autoportrait est mon principal moyen d’expression artistique.

Il me permet d’exprimer et d’exorciser les épreuves de ma vie, en ne mettant en danger que moi. De les performer, les revivre et les revoir un jour.

Toute photo est un autoportrait. Même lorsque je compose sur d’autres êtres.

 

Les œuvres présentées sont presque toutes disponibles à la vente en tirage limité et signé.

Le studio

Place de la Sirène

Je dois au Mans un lieu aussi grand que l’amour que j’ai pour elle.

Car Le Mans m’a ouvert les bras.

Entre ses bras, j’ai vu une sirène sur un mur.

Place de la sirène.

 

Je vous reçois sur rendez-vous uniquement, dans ce lieu incroyable qui fut le Baccara.

C’est un lieu d’art. Un lieu d’oubli et de liberté.

 

Le Studio est aussi une galerie qui présentera des expositions privées sur des thématiques fortes.

Parce que dans un endroit aussi beau on peut parler de tout.

Parce qu’il faut parler des choses pour les rendre palpables et imposer qu’elles soient entendues.

Entouré de professionnels des secteurs médicaux, sociaux, artistiques ou historiques, nous évoquerons les moments forts qui ont jalonné ma vie et tant de vies et sont au cœur de mon travail artistique : le deuil périnatal, l’alcoolisme, la maladie, la transidentité, la liberté…

 

Les invitations à l’événement inaugural seront envoyées fin janvier. Une demande via l’onglet de contact est bienvenue si vous souhaitez en être !

Attention, lecture pénible mais potentiellement drôle

On m’a dit qu’il fallait dire que je suis photographe sur Le Mans. On est d’accord, vous et moi, pour dire que Photographe sur Le Mans c’est moche ? Photographe au Mans, passe. Photographe du Mans, aussi. Photographe sur Le Mans, c’est vilain.

À ce titre je dois aussi écrire Portrait ; c’est pas idiot, parce que c’est ce que je fais, des portraits, mais en mieux. Des portraits de famille en mieux, des portraits d’enfant en mieux, des portraits de grossesse en mieux, des portraits de couple en mieux.

Ah, il y a aussi boudoir. Pour le coup, boudoir, j’ai vraiment du mal. C’est un petit gâteau, vous n’êtes pas un petit gâteau ?! Donc les séances boudoir avec moi, elles s’appellent Donjon ; là, le référencement est en PLS. Mais je vous promets que mes séances photo boudoir qui s’appellent donjon ne font ni peur ni mal. Je pourrais éventuellement vous parler ici de mon goût profond pour la photographie thérapeutique, également appelée photothérapie, et vous dire que je n’en fais pas.

Donc : je ne fais pas de photographie thérapeutique ou de photothérapie, parce que je ne suis pas thérapeute et que je ne me sens pas la légitimité de vous dire que grâce à moi, vous irez mieux. Mais j’ouvre des portes. Je suis donc serrurier (le référencement rend l’âme) à mes heures.

Alors maintenant que je vous ai dit que je suis le photographe professionnel qu’il faut absolument contacter sur Le Mans, il me reste à m’excuser pour la lourdeur de ce texte et mon humour douteux.
Je vous salue.

Rhéa Shirudo, le photographe professionnel du Mans, de portraits de famille, de grossesse, d’enfant, de boudoir qui s’appelle donjon, toussa toussa.

Vous êtes ma prochaine œuvre d'art

Contactez-moi pour réserver votre expérience studio.